" Je suis conscient que toutes ces vieilles bâtisses, avec leurs histoires, leurs familles, seront un jour vendues, cédant la place à des auberges, des supermarchés ou à de riches propriétaires terriens, autrefois nommés des boyards. Devant chaque maison ancienne, on peut encore trouver de petits bancs, les vieilles dames s'y assoient pour se raconter les derniers potins, les jeunes filles attendent leurs futurs prétendants et les hommes trinquent entre voisins..."